P1080070En fondant sa maison de production en 2000, Helen Doyle se donnait comme leitmotiv :

« Tatouer avec des images, des sons, des rythmes, mine de rien. S’insinuer avec des propos, des fous rires et des larmes, des sourires et des colères… Douce subversion… »

L’archiviste Germain Bonneau y collabore régulièrement en y apportant ses compétences, entre autres en direction de production.

Tatouages de la mémoire commence sa carrière avec la production d’un document singulier, Soupirs d’âme, qui remportera trois prix dans autant de festivals.
Avec le documentaire Birlyant, une histoire tchétchène, la compagnie est mise en lumière au Festival International de Films de Femmes de Créteil.

Tatouages a aussi travaillé à développer le projet Rapporteurs d’images / Dans un océan d’images (qui a été produit par InformAction) et poursuit son projet Sur les Traces de Pasolini.

La compagnie collabore avec Vidéo-Femmes (Spira) et les Éditions du remue-ménage sur la monographie et le coffret Helen Doyle Cinéaste : La liberté de voir, lancé en 2015.
La maison de production désire conserver cette idée de développer des projets inédits et singuliers, par exemple avec le projet de documentaire basé sur une médiation culturelle en danse et en musique : Au pays du grand ciel dansent les oies sauvages.

Le court-métrage poétique L’artiste dans son for intérieur avec, en complément, L’atelier des Chimères, sortira en mars 2016.